همسة أمل من الأمل في صباح مشرق تهلل فيه العصافير لا إله الا الله

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 Les premiers hommes qui servent de combustible à la Géhenne au Jour de la Résurrection sont trois

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laplume

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MessageSujet: Les premiers hommes qui servent de combustible à la Géhenne au Jour de la Résurrection sont trois   Les premiers hommes qui servent de combustible à la Géhenne au Jour de la Résurrection sont trois I_icon_minitimeDim Nov 11, 2012 6:16 am

Les premiers hommes qui servent de combustible à la Géhenne au Jour de la Résurrection sont trois







Le
premier est un martyr. Allah le fait venir et lui fait connaître Ses
faveurs (qu'Il lui avait accordées dans le bas monde) ; l'homme les
reconnaît, et Allah dit : - "Qu'est-ce que tu en as fait ?". L'homme dit
: "J'ai combattu pour Toi jusqu'à la mort". - "Tu mens, dit le
Seigneur, tu as plutôt combattu pour qu'on dise : "Il est audacieux !"
Et il a été ainsi". Puis, l'on ordonne qu'on le traîne sur le visage,
jusqu'à ce qu'il soit jeté au Feu.


Le deuxième
est un homme qui avait appris la science, l'avait enseignée et qui avait
appris le Coran. Il est à son tour ramené. Les faveurs dont Allah
l'avait comblé lui sont présentées, il les reconnaît, et Allah lui dit :
- "Et qu'est-ce que tu en as fait ?" - "J'ai appris (la science), je
l'ai enseignée et j'ai récité le Coran pour Toi." Il lui dit : "Tu mens !
Tu as plutôt étudié pour qu'on dise : "C'est un savant" et tu as récité
le Coran pour qu'on dise : "C'est un récitateur" ; Et il en a été
ainsi." Ensuite, l'on ordonne de le traîner sur son visage jusqu'en
Enfer pour y être précipité.


Le troisième
est un autre homme, qu'Allah avait comblé de Ses largesses et lui avait
accordé toutes sortes de richesses, est alors ramené (devant Allah). Les
faveurs (d'Allah) lui sont présentées, il les reconnaît ; et Allah lui
dit : - "Qu'est-ce que tu as fait de ces faveurs ?" - Il dit : "Je n'ai
laissé aucun sentier où Tu aimes qu'on dépense, sans y dépenser." -
Allah lui dit : "Tu mens. Tu l'as plutôt fait pour qu'il soit dit : "Il
est très généreux", et c'est ainsi qu'il a été dit." Et l'on ordonne
alors qu'il soit traîné sur le visage jusqu'à le jeter en Enfer
.» (Rapporté par Mouslim, Nasâ`î et Tirmidhî).


L’œuvre humaine possède deux volets : une
intention qui la motive et une manière pour l’accomplir. Pour qu’une
œuvre soit profitable le Jour de la Résurrection à son auteur, il faut
que ses deux volets soient bons.
Le Jour de la Résurrection, ce sont les œuvres pieuses qui seront
exigées, mais elles ne suffisent pas à elles seules, elles doivent être
accompagnées d’une autre dimension qui est la bonne intention de
l’acteur.
De là, on pourrait diviser les actions de l’homme en quatre parties dont
une seulement jouit de l’agrément divin. Il s’agit en fait de l’action
qui est en parfaite conformité avec les enseignements du Prophète ([Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]) et qui est motivée par une bonne intention.
Ainsi, la construction d’une mosquée est une œuvre pie, mais il est
primordial que son bâtisseur la construise avec une bonne intention pour
qu’Allah, exalté soit-il, soit satisfait de lui. La fausse piété
transgresse une condition essentielle parmi les conditions nécessaires à
l’agrément de l’action le Jour de la Résurrection.
Nombreux sont ceux qui pensent que la valeur de l’action est liée à la
quantité des bienfaits qui en découlent. Ainsi, pour eux plus l’action
procure de bienfaits, plus sa valeur augmente.
Dans l’ordre social, la notion d’œuvre pie n’est souvent considérée en
tant que telle que par rapport à la quantité des bienfaits qu’elle
procure de façon générale. Toutefois, le but de l’acteur et ses
intentions ne sont jamais pris en considération.
Cependant, envisagée sous un rapport divin, l’œuvre pie, si elle apporte
à son auteur un bienfait moral dans le processus de sa réalisation
spirituelle, elle ne peut toutefois revêtir qu’une forme angélique et
n’est complète que si elle est sincère.

Ainsi, l’homme, en accomplissant de
bonnes œuvres, ne fait que se conformer sans condition aux injonctions
d’Allah, et ses actions ne sont accomplies que pour Allah.
En effet, c’est en vertu de l’intention visant à gagner la satisfaction
d’Allah, exalté soit-il, que l’action est agréée et que l’homme s’élève
spirituellement et se rapproche d’Allah. Il en résulte que ce n’est pas
par rapport à la quantité que l’on évalue les actions, mais plutôt en
fonction de la sincérité de l’intention. Le Prophète ([Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]) a dit dans un hadith rapporté par Mouslim : « Certes, Allah ne regarde ni vos apparences ni vos biens, mais Il regarde vos cœurs et vos actes ».


Avant la conquête de Tabouk, alors que les musulmans se préparaient à
faire face à l’ennemi, le besoin de renforcer l’action se fit sentir. Le
Prophète ([Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image])
demanda alors à ceux qui le pouvaient, de faire don de biens, chacun
selon ses moyens, et c’est ainsi que Abû ‘Uqayl al-Ansârî offrit, en
signe d’aide, une petite quantité de dattes, qu’il a pu s’assurer au
prix d’un dur labeur. les hypocrites firent de cette modeste
contribution un sujet de plaisanterie, mais l’événement ne tarda pas à
connaître une heureuse issue, alors que le verset suivant qui faisait
allusion à cette réaction fut révélé : « Ceux-là
qui dirigent leurs calomnies contre les croyants qui font des aumônes
volontaires et contre ceux qui ne trouvent que leurs faibles moyens (à
offrir), et ils se moquent alors d'eux. Qu'Allah les raille. Et ils
auront un châtiment douloureux.
» (Coran 9/79).


Le Coran compare le travail dépourvu de foi et de bonne intention au mirage que l’assoiffé prend pour de l’eau : « Quant
à ceux qui ont mécru, leurs actions sont comme un mirage dans une
plaine désertique que l'assoiffé prend pour de l'eau. Puis quand il y
arrive, il s'aperçoit que ce n'était rien; mais y trouve Allah qui lui
règle son compte en entier, car Allah est prompt à compter
.» (Coran 24/39).
Il compare également le travail des incrédules à de la cendre sur laquelle souffle un vent violent par un jour de tempête : « Les
œuvres de ceux qui ont mécru en leur Seigneur sont comparables à de la
cendre violemment frappée par le vent, dans un jour de tempête. Ils ne
tireront aucun profit de ce qu'ils ont acquis. C'est cela l'égarement
profond.
» (Coran 14/18).
Notre Prophète Muhammad ([Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]) a dit en soulignant l’importance de la sincérité dans l’action : « Les œuvres ne valent que selon leurs fins ». Il a également dit « Certes,
les actions ne sont récompensées que selon les intentions qui les
motivent, et chacun sera récompensé conformément à ses intentions
».


À travers cet ensemble de versets
coraniques et de hadiths prophétiques, on comprend que l’agrément d’une
œuvre pie est lié à la bonne intention et à la sincérité de son auteur.
Ainsi, une action n’à point de valeur quelque soit sa grandeur, si elle
est accomplie avec ostentation ou si son auteur est incrédule. Par
contre, une œuvre, si infime soit elle, conservera toute sa valeur si
son auteur est sincère et bien intentionné. Allah transcendant soit-il a
dit à cet égard : « Et ceux qui dépensent
leurs biens cherchant l'agrément d'Allah, et bien rassurés (de Sa
récompense), ils ressemblent à un jardin sur une colline. Qu'une averse
l'atteigne, il double ses fruits ; à défaut d'une averse qui l'atteint,
c'est la rosée. Et Allah voit parfaitement ce que vous faites
.» (Coran 2/265).
La persévérance dans la sincérité est plus difficile que l’action
elle-même, tout comme la sincérité est une condition nécessaire pour que
soit agréée l’action. Car l’œuvre pie peut être menacée du danger
d’effacement, d’où la disparition de ses bienfaits et par conséquent la
privation de son auteur de la récompense divine.
Ainsi, l’œuvre pie peut être menacée par la fausse piété. Toutefois, si
cette œuvre est rendue publique dans le but d’encourager les gens, elle
ne s’inscrit plus dans le cadre de l’hypocrisie.

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